Sinistraë

Nom : Sinistraë (Le fils du Sinistre en latin-elfique ^^)

Age : 45 ans (un jeune elfe donc)

Race : Elfe

Classe : Mage (Foudre)

Description phisique : Sinistraë est évidement très beau, et ne peut être que bien habillé, ne supportant pas la moindre touche d'imperfection sur sa personne. Un visage d'ange, des yeux bleu très foncé, les sourcils fins, les cheveux brun et soyeux, magnifiquement peigné, une fine tresse, unique, se baladant dans l'étoffe quasi-liquide de ses cheveux. Comme tous les elfes, il est fin et grand, mais, ayant eu toutes sortes d'entraînement dans sa jeunesse, il est relativement bien bâtit. Taillé dans l'essence la plus divine des elfes, sa peau est blanche, comme il convient à un homme de la haute société, pas un seul grain de beauté, pas une seule tache de rousseur, pas la moindre tache de naissance ne vient déranger la parfaite cohésion de la couleur de sa peau. Les bottes parfaitement cirées cachées sous un pantalon de soie, à demi bouffant, une tunique de la même étoffe, des mêmes couleurs sobres, noir, blanc, rouge foncé, un peu d'or, cintré avc une ceinture de cuir décoré ; cachent son armure inhéstétique. Parfois, lors de ses mission de rafles, il se cache presque entièrement, sauf le haut de son visage, ses yeux couleur de saphir, et ses doigts fin, terminé par des ongles parfaitement limés, sous une longue cape, avec des gants de cuir clouté.

BG : 1er jour de la 35ème année après ma naissance

35 ans seulement. Et tous ces idiots qui gambadent. Ils n’ont pas l’air bien fins, à se complaire dans cette paix continuelle et chimérique. 35 ans qu’on m’enseigne tout un tas de truc. Et j’en ai tellement stocké dans ce cerveau qu’est le miens, que j’ai l’impression d’avoir plus de dix fois mon age. Peu importe de toute manière, je suis immortel. Que peut bien me faire mon age ? Me faire oublier mon enfance. C’est vrai. C’est d’ailleurs pour cela que je vais maintenant tenir à jour ce journal. Jamais je n’oublierai qui je suis.

Je suis né, et bien, il y a 35 ans maintenant. Que puis-je dire sur ma trop paisible, trop parfaite jeunesse ? Je suis né beau, je le resterai. Je suis né intelligent et agile, je le resterai. Tous les elfes sont beaux, rares sont ceux qui le sont autant que moi, mais ils sont tous beaux. Les elfettes aussi son belles. Ces magnifiques créatures dont le rire cristallin oblige mon sourire à apparaître, les objets de mes désirs depuis que j’ai l’age d’y penser. Combien parmi celles de mon village ont succombé à mon charme ? Combien en ai-je tenu dans mes bras ? Combien parmi elles ont eu honneur d’être amené à ce divin plaisir qu’apporte la luxure, par mes bons soins ? Trop. Je connais presque tous les corps, presque toutes les courbes des femmes de mon village. Que va bien pouvoir m’apprendre de plus cette ridicule bourgade ? Elle m’a déjà appris à me battre, m’a bâtît un corps de dieu, m’a enseigné toute l’étendue de la culture elfe, la musique, tous les arts, la magie. La magie. Je me souviendrai de cette journée.
Nous étions tous au rendez-vous, tous les élève de l’école de magie. Pour le moment ce n’était que de la théorie. Nous allions enfin passer à la pratique. Mais il fallait pour cela choisir notre voie. Le maître nous présenta toutes les magies possible. Magie noire, magie de la Vie, magie du Feu, magie de l’Air, magie des Cieux, magie de la Terre, et magie de la Foudre. Chacune avait son avantage. Mais rien à mes yeux ne valait le coup. Deux m’attiraient cependant. La magie noire et la magie de la Foudre. Pourquoi la foudre ? Je me voyait déjà remplir l’air de cette électricité statique qui excite les sens, les Hommes, et les bêtes. J’aime l’excitation. La magie noire était puissante. Nécromancien disaient les légendes. Qu’il aurait été agréable de pouvoir se constituer une armée de morts vivant par ma seule volonté. Mais cette magie noire aurait dégradé mon beau visage par la perversion a laquelle elle obligeait. Je me dirigeai donc vers la magie de la Foudre.
Que dire de plus sur ses trente-cinq années qui se sont écoulée ? Rien. Il ne se passe jamais rien. Je me demande encore comment je peux vivre ainsi.

3ème jour de ma 35ème année

Deux jours que je tiens ce journal, et que raconter déjà ? J’ai déjà raconté ma jeunesse, et maintenant ? Mes aventure avec les femmes ? Peut-être. J’aurait de quoi raconter tout les jours. Hier et aujourd’hui, les cadeau n’ont pas arrêté d’affluer. Mes préféré surtout… Les plus belles filles du village sont venues. Celles-là, je pense que je ne m’en lasserais pas avant longtemps. Leurs courbes sont parfois indescriptibles. Parfaites, sublimes, d’une rondeur a la fois molle et ferme, les agitant dans un semblant de danse, couchées sur le gigantesque matelas de mon lit. J’adore entendre leurs petits gémissement. A peine les touche-je, je sens leur intérieur s’activer de mille sensations et désirs que seul moi comblerais. Je suis leur rêve.

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149ème jour de ma 45ème année

Plus de dix ans que je tiens ce journal. Quand je le regarde, je me souvient de toutes ces femmes. Je ne peux même plus les compter. Si seulement il n’y en avait qu’une seule par jour, peut-être, mais elles ne s’arrêtent pas là. Elles en veulent, encore et toujours. Toutes.
Mais ce village me pèse. Je le connais par cœur. Je les connais par cœur. Mes parents me pèsent. Ma mère surtout. Elle est faible. Et puis, pourquoi ce journal ? J’en ai marre d’écrire. C’est stupide d’écrire ! Je vis tout ce que j’écrit, et je le vivrait encore longtemps ! Pourquoi continuer à écrire ? C’est idiot ! Je me sens enfermé ici. Mon Esprit a besoin de d’espace pour s’agrandir encore.
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Sinistraë jeta le journal par terre, jeta toutes ses sublimes affaires dans un sac, le journal, et descendit les escalier quatre à quatre.

- Où va tu Sin ?
- Ton fils s’en va mère ! Il en a marre de ce trou perdu !
- Mais… Sin ! Tu n’est pas bien ici ?
- Non ! Et tais-toi ! Tu est trop faible mère ! Il s’en va !

Il repoussa sa mère et sortit à grand pas de la maison. Certaines filles se retournèrent. Personne dans le village ne partait plus loin que la forêt, et sûrement pas avec un sac aussi gros que celui de Sinistraë.

- Tu t’en va Sin ?
- Oui, Il s’en va.
- Oh… Reste un peu s’il te plais…
- Non, Sinistraë en a sa claque de rester ici. Ecarte toi. Lâche-le !

Elles commençaient à se faire câline. Mais Sinistraë y était habitué. Ce n’était pas ces jouvencelles qui le feraient changer d’avis. Il la repoussa d’un geste arrogant, et s’en alla. *J’en trouverais d’autres… des créatures de rêves aussi… Elles ne me résisterons pas… 'N’auront pas le choix…*